La paix du soir a encore frappé…
Comme par hasard, sous un ciel étoilé,
Dans le bleu-noir la lune brillait
Berçait d’espoir mon cœur en paix.
Que souhaiter? Rien au monde
Une lumière, un stylo, du papier,
Une flûte pèlerine, vagabonde,
Et la terre où poser mes pieds.
Je suis à nouveau en été,
Un soir, ainsi, je mourrai, apaisé,
En pleine nature, vivant, sans regrets,
Comme à chaque fois je m’envolerai.
Jean-Jacques Corbaz, Yaoundé, 22 novembre 1974
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