(Ce n’est plus le Dieu de colère et de punition, qui correspondait à la mentalité des anciens temps. Ce n’est plus le Dieu des commandements et des interdits ; celui-là, il a été crucifié un vendredi).
Ton vrai visage, mon Dieu, c’est celui d’un ami proche, animé d’une infinie tendresse pour nous. Solidaire de nos peurs, de nos émotions, de nos fragilités. Tu souffres avec nous, tu pleures avec les victimes et les éprouvés. Nos blessures te font mal à toi aussi.
Que cette sympathie vraie nous aide et nous guide, qu’elle nous soutienne sur des chemins de confiance et de paix, ceux que balise devant nous Jésus, le Christ. Amen
Jean-Jacques Corbaz, avril 1996
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