Dieu, qui ressembles au père que je voudrais être,
Dieu, qui ressembles à l’amour que tu m’as donné,
Dieu, qui rassembles tant de soifs, tant d’espérances,
Et les fécondes du meilleur que je connais,
Pour toi, mon Dieu, je ris, je danse.
Dieu, qui ne sais pas ce que c’est qu’aimer
Parce que tu ne fais jamais autre chose,
Mieux : tu ne sais pas parler au passé
Tellement l’espoir en toi sans cesse explose,
Avec toi, mon Dieu, j’attends, j’espère et j’ose !
C’est ta beauté qui me fait vivre,
Comme les îles au parcours du voilier,
Je ne peux que la suivre,
Émerveillé.
Amen
Jean-Jacques Corbaz, avril 1988
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