Bonjour, et merci d’être là, ce matin !
J’espère que vous allez bien. Mieux que notre monde, lequel nous désespère parfois.
En fermant son journal, le pessimiste a de quoi se lamenter : « Ça va mal. Ça ne peut pas aller plus mal ! »
Sur quoi l’optimiste murmure : « Ça ne peut pas aller plus mal ? Mais si, mais si !! » Hem !
C’est sur ce monde mal fichu que Dieu jette pourtant un regard rempli de bonté, et d’espérance !
C’est cette terre blessée, meurtrie, que le Créateur veut travailler, comme un sol aride, pour la rendre fertile !
C’est cette humanité maladroite et peu accueillante que Dieu nomme « ses enfants » ; « ses bien-aimés ». Celles et ceux qui sont appelés à se tendre la main, au milieu des peines, pour ouvrir la porte à un avenir meilleur.
Bienvenue à vous, qui faites partie de cette humanité-là ! Chacun.e, tous, vous êtes les mains de Dieu pour réaliser sa volonté ici-bas. Vous êtes celles et ceux qu’il voudrait tant conduire au bonheur !
Invocation
Pour nous tourner vers sa source, je vous invite à prier :
Dieu qui nous aime comme nous sommes, sans contrainte, sans conditions, merci ! Nous ouvrons nos cœurs à ta présence, légère, bienfaisante, infiniment au-delà de tout ce que nous pouvons espérer.
Que ce temps de culte soit béni, par le lien de ton Esprit, l’Esprit de Jésus. Amen
Jean-Jacques Corbaz, mai 2009
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