Mais il est en même temps le «Tout-l’autre». C’est-à-dire tout ce qui nous entoure, la globalité de l’univers. Autrui au sens très large, l’humanité, la création, le vide et le plein. Autrement dit, tout ce qui n’est pas moi.
Ainsi, notre relation avec Dieu, et notre justice devant Dieu, c’est notre relation et notre justice face à la globalité de l’univers.
Jean-Jacques Corbaz, le 6 septembre 1974
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