Dimanche après dimanche, voire jour après jour, Dieu vient nous rappeler la bonne nouvelle de son pardon. Il nous assure qu’il abandonne toute colère, tout désir de venger et de punir. Il prend sur lui la violence qui aurait dû nous frapper. C’est cela, sa grâce, ce cadeau immense et sans limite qui nous sauve, même si nous ne le méritons pas.
Je vous invite à la prière :
Seigneur, nous avons de la peine à réaliser ce que ça veut dire, ce pardon, pour nous. On nous a tellement parlé de ta grâce que ce mot n’évoque plus la joie pour nous, la libération, le soulagement. Puissent tes promesses réveiller en nous l’étonnement et la délivrance qu’éprouve le condamné à mort qui reçoit sa grâce ! Que ton pardon libère en nous des gestes qui chantent la reconnaissance, qui dansent la fête ! Donne-nous aujourd’hui encore, donne-nous pleinement Jésus Christ, ton Fils ! Qu’il nous remplisse de paix et d’espérance !
Amen.
Jean-Jacques Corbaz, avril 1995
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire