Les oiseaux qui partent vers le sud ne savent pas où il se trouve, ni comment il est. Ils n’ont ni boussole ni GPS. Pourtant, ils partent.
De la même manière, Dieu ami, je voudrais cheminer vers toi.
Le nouveau-né qui crie vers sa mère ne la connaît pas encore. Même quand elle n’est pas là, il l’appelle.
De la même manière, Dieu ami, je crie vers toi.
Le tournesol qui s’oriente vers l’astre du jour ignore la distance qui l’en sépare. Il ne peut même pas comprendre qu’il a besoin du soleil pour vivre. Il se tourne.
De la même manière, Dieu ami, j’ai besoin de toi.
Tu es mon but au chemin d’espérance
Tu es ma nourriture de chaque jour
Tu es mon soleil
Je t’aime
Amen
Jean-Jacques Corbaz, avril 1982
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