Qu’il y ait sur la terre,
Au milieu des millions de misères,
Un rayon de soleil;
Qu’un petit d’homme espère
Et secoue ses couches de poussière,
Se dressant vers le ciel;
Qu’une seule sirène,
Au meilleur des maillons de la chaîne,
Au plus fort des plafonds de nos peines,
Annonce le réveil:
Alors,
Dieu ne sera pas mort!
Jean-Jacques Corbaz, septembre 1985
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