Juste au bord de la nuit
Se trouve mon espérance.
Dans la pénombre, sans bruit,
Se cherchent nos transhumances.
Juste ou faux, au bord du point d’appui,
Un levier d’espérance.
Un bourgeon, une fleur, un fruit,
Pour ouvrir une danse.
Juste là-bas, ou juste ici,
Un port d’attache à mes errances.
Au bord du port, comme indécis,
Je cherche encore.
Merci.
Dans la pénombre, sans bruit,
Se cherche mon espérance.
Juste au bord de la nuit
Se trouvent nos transhumances.
C’est juste.
Jean-Jacques Corbaz, 13 mars 1976
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